Ayizyah SKY ~ La mafieuse Waylin ~ I'm the Queen of Wind

Carte d'Identité

• Nom : Sky
• Prénom : Ayizyah
• Surnom : Mafieuse de l’enfer. Nan c’est pas ça ? Alors c’est Ayi que l’on prononce Awi !
• Âge : 18 ans
• Sexe : Femelle
• Race et Nationalité : Je suis une louve waylin
• Lieu de vie : Wyrda
• Date de Naissance : 1703
• Orientation sexuelle : Bisexuelle
• Métier : Cheffe d’un gang de mafia
• Milieu social : J’suis une richouse mageule

Physique

Je donc une louve. D’une taille moyenne, mais élancée. Je suis légèrement musclée et des courbes parfaites se dessinent sous mon pelage, ni trop petites, ni trop grosses. Ce dernier est en majorité blanc. Le bout de mes pattes à moitié chibi, mon museau, le bout de ma queue et de mes oreilles sont noirs dégradé au blanc. J’ai de long cheveux, qui bouclent doucement. Ils m’arrivent au milieu du dos et une importante touffe de mèche se trouve sur la droite de mon visage. Une petite tresse derrière mon oreille et une partie de cette mèche est d’un violet pâle. Le même que mes yeux qui se dégradent au bleu. Ce regard est… pénétrant et intense. Il est orné de longs cils noirs de jais. Il y a quelques objets que je garde tout le temps sur moi. Une boucle d’oreille sur chaque oreille plus une plume orange et violette sur celle à ma gauche. Il y a aussi un morceau de tissu qui m’entoure la moitié de l’avant-bras gauche. Il est bleu presque roi. Et un bracelet or ainsi qu’une minuscule chaînette noire enserre le haut de mon bras droit. Ensuite, j’aime beaucoup m’habiller avec un haut noir et une veste longue, crème, à col haut marron. Qui s’ouvre sous ma poitrine Des lanières pendent de mes épaules et une m’enserre juste au-dessous de la poitrine. J’aime beaucoup mon short bleu et ma ceinture, ainsi que mes bottines de cuir.

Spoiler:

Caractère

Mon caractère ? Waouh ! Vous en avez pour un petit moment ! Comment ça faut que je résume pour l’histoire ? Pff… rabat-joie. Je suis lunatique, hautaine. J’aime prendre de haut et mépriser les gens comme on l’a fait avec moi par le passé. C’est une sorte de petite vengeance sadique et puérile. Les seules personnes à avoir de la valeur à mes yeux sont Ahcanan et Aron. Comment ça vous ne savez pas qui ils sont ?! Pff… faut lire la fiche dans le désordre ! Vous n’êtes pas très drôles… Je pense que certaines personnes méritent d’être traitées avec égal par rapport à moi. Alors je les considère à ma hauteur. Non pas que je sois une pute qui pense qu’à sa personne mais j’aime pas les gens qui se plaignent. Ils sont pathétiques et ne méritent que des gifles. Est-ce que je me suis plainte moi de mes sept années de viol hein ?! Bref, excusez-moi le spoil de mon histoire mais c’était plus fort que moi. Je suis très sûre de moi. Sauf avec les personnes très proches de moi peuvent me faire douter. Et lorsqu’elles sont atteintes, je ferai n’importe quoi pour leur venir en aide. Vous voulez qu’on parle de la peur ? Je suis une vraie tête brûlée. Rien ne fait peur et je ris au nez du danger. Le seul truc qui me panique c’est de retourner dans le passé. Je suis plutôt torturée et souvent je fais des crises où je replonge violement dans toute l’horreur de mon enfance et adolescence. Pour l’instant ces crises se sont calmées. Est-ce qu’elles reviendront un jour ? J’espère que non. Voilà je pense avoir résumé du mieux que je pouvais mon caractère. Dommage que je ne puisse pas rajouter plus de chose. Au pire venez découvrir mes faces cachées !

Histoire

Tout a commencé avec ma naissance. Nan sans blagues ? Et bien oui. On vient tous de quelque part. Moi mes parents avaient une grande renommée. Des marchands, qui avaient amassé autant de fortune que de respect. Mes frères et sœurs avons donc été élevé dans le luxe. En parlant de ces derniers il faut quand même que je vous raconte qui ils sont ! Mon plus grand frère, se nomme Arry. Il a dix ans de plus que moi. Je le hais tellement… mais on y reviendra. J’ai une grande-sœur, Ayazyah, avec qui je n’ai jamais été proche, car j’ai quatre ans de différence avec elle et dont j’ai perdu le contact. Et, finalement j’ai un jumeau. Qui est quand même né avant moi. Lui c’est Aron et c’est toute ma vie. Je mourrai pour lui. Nous sommes comme… liés. Vous savez les rumeurs sur le fait que les jumeaux auraient une sorte de capacité de télékinésie ? Bah, c’est presque vrai pour Aron et moi. Enfin c’était… je reviendrai sur cette sombre histoire plus tard. Donc je suis née dans la magnifique contrée qu’est Wyrda. Mais grâce à mes parents voyageurs, nous avons pu découvrir le monde. J’ai toujours apprécié le côté désertique et sauvage de Jarsha et la beauté des archipels de Blagden. Mais rien de tous ces pays ne dépasse Chibal, même Wyrda, que j’aime de tout mon cœur. Chibal, c’est la cité la plus parfaite qu’il m’est été donné de voir dans ma vie. Et à chaque année que j’y remets les pieds, je suis toujours aussi émerveillée. J’ai eu une enfance heureuse et normale.  Notre famille n’avait aucun des pouvoirs élémentaires que nous pouvons débloquer. Mais cela nous importuné peu. Nos parents étaient aimants. Pour revenir à mon jumeau, Aron, lui et moi étions toujours fourré ensemble. J’étais téméraire et impulsive, lui calme et posé. Nous nous complétions. Car malgré notre différence de caractère, ce petit brin de folie nous habitait tous les deux.  J’étais heureuse, et lui aussi. C’est tout ce qui comptait. Jusqu’à ce qu’Arry vienne foutre la merde.

Je devais avoir huit ans. Mes parents et nous, leurs enfants, venions d’avoir une grosse discussion bien ennuyeuse. En gros, ils nous parlaient de succession. Arry avait donc dix-ans ans. Ayazyah douze et Aron comme moi, huit ans. Je me souviens encore somnoler sur la table tellement leur conversation bidon m’emmerdait. Mes frères et sœurs, eux se tenait bien droit. Comme des « i » sur leurs chaises. Papa énonçait ce qu’il léguerait à chacun à leur mort. Finalement, il m’a annoncé que je m’occuperai de l’intendance de leur fortune. En gros ? Reprendre l’entreprise. Car j’avais le caractère qui collait. Personnellement je me fichai éperdument de devoir hériter de la part la plus importante de leur fortune. Mais Arry ne l’a pas entendu de cette oreille. Il s’est mis dans une colère noire. Je ne l’avais vu jamais aussi furieux. Et même quand il m’a traité de boule de poil insolente, j’ai juste soupiré parce qu’il me les cassait. J’aurai dû me méfier plus que ça… une semaine passa, avant que le drame qui chamboule ma vie ne se produise.

Je me souviens encore, je dormais dans mon immense chambre du palace où nous logions en bordure de la capitale de Wyrda. À Agaeti. C’était une chaude nuit d’été. J’avais eu du mal à m’endormir à cause de la chaleur et je me tournais souvent dans mon lit. Espérant qu’un souffle d’air vienne me rafraichir. Finalement le vent s’est levé, faisant onduler les longs voiles des baies vitrées entièrement ouvertes dans toute la villa. Un cri a déchiré la maison et j’ai fait un bon dans mon lit. Je me suis levée inquiète et seulement éclairée par la pleine lune, j’ai traversé les longs corridors vers le cri. Un homme en costard noir est sorti du bureau de papa. C’était jaguar arshalia. Il me dépassait largement et j’ai levé mes petits yeux interrogateurs sur lui. Il a soupiré et m’a intimé de venir avec lui. Je lui ai dit de me laisser tranquille et en soupirant de nouveau il m’a attrapé avec violence mon petit bras frêle et m’a traîné de force dans le grand bureau de papa. J’ai retroussé les babines en direction du jaguar avant de me retourner pour voir la sombre scène qui s’était déroulée. Mes parents se trouvaient au pied du long bureau. Enfin la tête séparés de leur corps. Leurs regards ahuris me hantent encore dans mes songes. Le sang rouge s’écoulait encore des plaies béantes. J’ai poussé un couinement strident et le jaguar m’a plaqué sa patte sur la bouche. Une dizaine d’homme félin se sont retournés vers moi. Un tigre blanc avec des yeux bleu a souri sadiquement. Une balafre lui barrait l’œil droit. Il s’est tourné vers le loup blanc qui se tenait sur le grand fauteuil, derrière le bureau. J’ai reconnu Arry. Je lui ai demandé ce qui se passait et il s’est fendu d’u sourire narquois. Il m’a répondu :

« -Il se passe, ma chère sœur, que je me venge du choix de nos parents. Tu ne mérites pas, toi l’insupportable benjamine, d’hériter de leur fortune. »

Il m’a fait signe de me taire et de m’approcher sur le côté du bureau. Il m’a montré des papiers et m’a ordonné de les signer. Je n’ai pas voulu. Il a soupiré et m’a menacé avec un poignard. Il l’a placé sous ma gorge. Et j’ai encore refusé. Je lui ai dit :

« -Tu ne serais pas capable de tuer ta propre sœur Arry.
-Tu crois ça ? »

Sur quoi il a légèrement enfoncé le poignard, mais assez pour faire couler le sang le long de mon cou. Il m’a obligé à signer les papiers. Ce que j’ai fait en larme. Puis, mon frère s’est adressé au tigre. Ce dernier se nommait James. Il l’a remercié de ses bons services et le tigre l’a remercié de m’avoir vendue à lui.

« -On va bien s’amuser. »

Cela a clôturé le débat et on m’a alors assommé.

Lorsque je me suis réveillée, j’étais dans le royaume de Jarsha. Dans un lieu sombre sur un lit de camp. J’étais encore en nuisette. Portant tout de même la plume familiale et le tissu d’Aron. Ce dernier avait le morceau de tissu lilas qui me représenté et moi j’avais pris le sien. Comme une union entre lui et moi. J’ai soupiré de joie. Finalement, le jaguar d’hier soir est venu, et avec un regard désolé m’a obligé à le suivre. Je suis arrivée dans la chambre du tigre blanc. Et c’est ce jour-là que mon calvaire a commencé.   Pendant sept, au moins une fois toutes les semaines, je suis allée dans cette chambre. Et la plupart du temps, j’étais le jouet de ce connard de James. Il me violait ou me battait pour m’entendre hurler. Je sanglotais souvent, perturbée d’avoir tout perdu d’un coup. J’étais seule, isolée dans cette chambre sombre. C’était sans compter aussi sur la jumelle de James, qui adorerait faire ses griffes sur moi quand je n’étais pas avec son frère. Quel salots les Horrifieries. James et Jasson, deux mafieux qui ont gagné le respect de la pègre dans tout Jarsha. J’ai même entendu dire qu’ils possédaient un laboratoire où on torture des gens pour débloquer leur pouvoir ! Argh… revenons à mon histoire. Je n’ai pas gardé toutes ces fines cicatrices des félins sur mon poil épais. Dans ce lieu de malheur, j’avais un seul espoir. La seule lumière naturelle. Malheureusement, c’était juste avant la torture. Mon geôlier, le jaguar du nom d’Ahcanan, me laissait quelques minutes contempler le désert avant de retourner dans ma cellule. Il avait pitié de moi. Il me parlait de temps en temps. Me disait quel était l’état du monde et ce qu’était devenu Ayazyah et Aron avant que le gang et Arry ne perdent leur trace. C’est lui qui m’a dit que j’avais atterrie dans la mafia arshalienne. Et que j’étais devenue l’une des favorites de James. J’étais reconnaissante de tout ce que faisait Ahcanan pour moi. Un jour je lui ai demandé pourquoi. Il m’a juste dit : « parce que tu ne le méritais pas. Parce que tu vaux mieux que ça. » Mais le jour de mes quinze ans, tout a de nouveau basculé.

Ahcanan avait l’air paniqué en m’emmenant voir James ce jour-là. Et il avait raison. James était d’une humeur massacrante, entre colère, bourré et jouissance. Il a été plus violent encore qu’il ne l’était déjà et alors que je m’apprêtais à partir, il m’a saisi le bras gauche. Celui-là même qui porte tout ce qui me reste de mon frère. Il m’a ordonné avec son haleine puante :

« -Après sept ans ici, tu devrais enlever ce qui reste du passé ma jolie. Tu m’appartiens désormais. »

J’ai dit que je n’appartenais à personne et que je garderai ma plume et mon « bracelet » quoiqu’il arrive. Cela l’a mit encore plus en colère. Il m’a plaqué contre un mur si violement que j’ai cru tomber dans les pommes. Il a commencé à vouloir m’arracher mon souvenir et c’est là que j’ai eu le déclic. Une rage si profonde, si dévastatrice, dû à toutes ces années de mauvais traitements. Tout l’air m’a hurlé de l’aspirer. Et sans que je comprenne comment je l’ai fait. En quelques secondes tout a semblé vide et j’ai soudainement écarté les bras violement. Le vent a projeté James contre le mur opposé où j’ai entendu ses os se rompent. Et pourtant j’ai continué à m’acharner sur le corps sans vie. Encore et encore. Lui rendant en sanglotant, coup par coup, tout ce qu’il m’avait fait. Finalement je me suis écroulée au sol et c’est Ahcanan qui est arrivé sur le lieu du drame le premier. Il m’a pris dans ses bras et m’a dit que c’était terminé. Il m’a emmené loin du courroux du reste du gang lorsqu’il découvrirait ce que j’avais fait. Nous avons fui, comme deux fugitifs. Et nous sommes partis loin. Dans la cité de la paix. En plein cœur de Chibal.

J’ai passé des mois seulement protégée par mon gardien. A me remettre de tout ce qu’on m’avait fait subir. À essayer d’oublier. Et ce pouvoir… je l’entendais parler dans ma tête me faisant sombrer de temps en temps dans la folie. J’allai mal. Je broyer du noir. Entre folie et maladie, Ahcanan qui s’inquiétait de mon état, je ne savais plus que faire. Finalement, quelques mois plus tard, un étranger a  frappé à la porte du petit hôtel où nous logions. Il s’est présenté à moi et lorsqu’il a fait tomber sa capuche sur ses épaules, une blessure venait de guérir. Mon frère, Aron, se tenait en face de moi. J’ai sauté dans ses bras heureuse de le retrouver. Nous avons parlé pendant des heures. Ahcanan étant parti pour nous laisser plus d’intimité. Nous avons parlé de tout ce que nous avons vécu et lui m’a raconté comme lui et Ayazyah s’était échappé lorsqu’il m’avait vu disparaître avec la mafia arshalienne. Ayazyah et lui auraient été traqués, vécu dans des taudis, dans la peur. Et finalement Ayazyah aurait développé un don de voyance. Qui très rare. Très vite, les prêtres chibaliens l’auraient enrôlée et Aron s’est retrouvé avec eux. Sous leur protection. Quelques années plus tard, lui-même a développé la capacité de se fondre dans les ombres et de les contrôler. Je lui ai raconté tout ce qui s’est produit pour moi et outré a voulu me venger. Je lui ai fait comprendre que James était mort à cause de moi. Et je lui ai dit pour mon don. Il m’a encouragé et lorsque nous nous sommes quittés en sachant que nous nous reverrons.

J’ai passé encore quelques jours avec Ahcanan à Chibal. Et je lui ai dit que nous allions retourner à Agaeti, en Wyrda. J’étais déterminée, sûre de moi. Les épreuves que j’avais traversées venaient de m’endurcir. J’étais redevenue la gamine sûre de moi, qui riait éperdument aux problèmes de la vie. Mais avec un atout en plus : j’étais dangereuse. Ahcanan et moi avons passé trois ans à enrôler une trentaine de personnes dans la grande capitale. Tous des fripouilles que j’ai reconverti en mafieux et qui me font aveuglément confiance. Finalement, mon affinité avec le vent s’est développée. Et j’ai pu compter sur Ahcanan pour me soutenir tout ce temps. Jamais je ne pourrai l’abandonner. Malgré le fait que c’est un arshalia et moi une waylin. Finalement, un jour, j’ai décidé de passer à l’action.

C’était un jour ordinaire pour Arry, vingt-huit ans. Les affaires marchaient bien depuis qu’il avait assassiné et hérité de toute la fortune de ses parents, frère et sœurs. De plus, il venait de conclure une importante transaction. Tout allait pour le mieux et il était heureux. Bientôt marié qui plus est ! Mais c’était sans compter sur moi. Il était assis au bureau de papa, dans le grand fauteuil en cuir noir. J’ai frappé poliment à la porte, Ahcanan et mes hommes postés sur les côtés de la grande porte. Achetant le silence des hommes de maison. Je suis entrée à la demande de mon frère et il m’a à peine jeté un coup d’œil avant de dire avec agacement :

« -Je ne reçois plus de putains depuis longtemps vous pouvez aller vendre vos services ailleurs.
-Alors maintenant, tu me considères en plus comme une catin, Arry ? » répondis-je hautaine.

Il m’a de nouveau dévisagé et plus attentivement cette fois. Avant de comprendre trop tard qui j’étais. Il a vite sorti un pistolet du bureau et m’a tenu en joug. J’ai ris avant de le désarmé grâce à l’air ambiant d’un moulinet de la main. Puis toujours devant son air ahuri, j’ai donné un autre coup pour le plaqué sur le mur de gauche grâce, toujours, au vent. Je me suis approchée de lui et dangereuse lui ai dit :

« -Oui je suis bien vivante. Alors maintenant tu la fermes et tu m’écoutes jusqu’au bout. Tu sais ? Je n’aurai jamais le courage d’enlever la vie à quelqu’un qui porte le même sang que le mien dans ses veines. Même si t’es le pire salop que je n’ai jamais connu. Mais tu sais quoi Arry ? Ayizyah Sky est bien vivante. Je me fiche de ce que m’as volé en soit. Mais c’est comment tu l’as fait. Alors à partir de maintenant, tous les mois tu me verseras deux milles vareks. Et si tu ne le fais pas… »

Mes hommes de main entre dans la pièce sous le regard désespéré d’Arry.

« -Eux n’auront aucuns scrupules à se salir les mains pour moi. Et je pourrai toujours me venger sur ta femme et tes futurs enfants. »

J’ai lâché la pression autour d’Arry et le gang et moi avons quittés la villa. Depuis, il rembourse sa dette sans faute.

Voilà ce que je suis, la cheffe de la meilleure mafia de Wyrda. Le gouvernement nous demande quelques services de temps en temps, dans les cas désespérés. Et cela ne me déplaît pas. Je suis dangereuse, manipulatrice. Gare à celui qui ouvre la porte de mon passé. Il y sera englouti sans mon aide.

Et toi, qui es-tu ?

• Surnom/PUF : FlashRa, Flash, Nashira, Nashi, Nash’, Hershey, Hersh.
• Âge : (OBLIGATOIRE) 15 ans.
• Comment tu nous as découvert ? J’ai créé ce forum avec yéyé et starou wesh.
•Un petit mot à nous dire en plus ? Je m’aime //SBAFF//

• CODE DU REGLEMENT J'm'auto-validouch !

Pouvoir

• Classe Élémentaire : Vent
• Catégorie des pouvoirs : Contrôle le vent et communique via lui.
• Contre partie : Fatigue pour le contrôle et n’entend pas toujours ses paroles.
• Explication : Je suis capable de contrôler le vent. Il m’obéit via les gestes directionnels que je fais. En gros, je déplace par les gestes et intensifie les courants d’air par la pensée. Ce qui peut me permettre de soulever des choses pas trop lourdes. En contrepartie, plus je l’utilise longtemps et plus c’est ma pensée que j’utilise, plus je me fatigue vite. J’ai déjà réussir à m’endormir en plein entraînement.

Pour ce qui est de la communication et bien en fait je ne peux pas porter des messages à d’autres personnes comme certaines personnes le font. Le vent voit tout et donc parfois me répète ce qu’il voit ou entend d’une façon plus ou moins énigmatique. Ou alors il m’insulte juste quand je fais une connerie.